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13 juin 2010 7 13 /06 /juin /2010 04:24

  Me revoilou après un long silence lié à mon incapacité à faire deux activités en même temps : les preps de français-histoire-géo-vie sociale et professionnelle, les enfants, la maison, le mari et... le blog (heu, ça fait plus que deux, ça), d'autant que la deuxième peut bien en bouffer du temps et de la paaaaaaaaatience.

 

Bref, depuis quelques jours, me voici en fin de contrat, en vacances tant attendues et rêvées devant mon ordi à pouvoir enfin répondre à tous les mails des futurs enfants de la chance mutés en Polynésie et en mal de conseils pratiques, à faire des articles toute la journée pour rattraper le temps perdu, les doigts de pieds en éventail, un cocktail de jus de kiwis frais (ma dernière trouvaille culinaire) dans la main.

Ouais, que nenni en fait car la Polynésie est en grève et surtout les maîtresses de Jimmy et de Scott, alors les vacances c'est avec les loulous dans les pattes et un rêve d'envolé, un...

 

Sinon, quoi d'neuf? on est rentrés dans l'hiver à Tubuai (je rappelle que les Australes ont un climat un peu différent du reste de la Polynésie Française) et voilà quelques jours que nous dormons sous la couette. La température dans la journée est très agréable, un peu comme un printemps en métropole, mais le lagon commence à être borderline néoprène : à la saison prochaine les baignades!

 

Ma balance me refait la gueule et moi aussi alors, c'est bien fait, plus que 15 jours pour attaquer un régime pour rerentrer dans mon maillot Boule et Bing  autrement qu'en chausse-pied la trafiquer avant les vacances d'été (pourquoi ai-je acheté une version si sophistiquée, avant, il suffisait de tourner un peu la molette et hop, ni vu ni connu, 2kg de moins).

 

J'avais envie de partager avec vous nos moments à Tahiti car on y passe quand même une paire de jours pendant les vacances, en sevrés de vie urbaine que nous sommes.

 

tahitilala1 (page 1)

 

Notre dernière résidence secondaire : chez les Renv'! c'est pas mal là-bas, grande maison, piscine, dans un coin que j'adore (pas trop loin de l'Happy hour du Pink Coconut sur la marina), seulement, l'adresse commence à se faire connaître... zut alors!

 

tahitilala1 (page 2)

 

tahitilala2

Imagehosting at Imageloop

 

 

 

 

Imagehosting at Imageloop

tahitilala3

Et puis aussi, on affectionne particulièrement à Tahiti des journées dans nos lieux de prédilection, où nous avons, je l'avoue, nos "petites habitudes" : le Sofitel pour les danses du dimanche, l'Intercontinental pour le buffet et le Manava pour... la vuuuuuuuuue!

(La prochaine fois que nous irons à Tahiti, promis article sur le marché, les roulottes, la presqu'île car je ferai des photos cette fois).

 

Next : des nouvelles de Tubuai, une excursion à Taha'a et la fête de fin d'année à l'école de mes p'tits gars.

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29 janvier 2009 4 29 /01 /janvier /2009 00:32
Mais que se passe-t-il chez les Ua-Pousiens?

Le moral un peu dans les chaussettes à cause entre autres du renouvellement forcé de la carte de fidélité chez le médecin pour les p'tits gars (et nuits blanches qui vont avec, et valises, et sale tête qui va avec, etc,...) bref, la reprise on se la prend dans la face...
En plus, voilà deux mois que l'Aranui se refait une beauté en Nouvelle-Zélande et que mon congélo est triste à mourir, fait ayant une répercussion certaine sur mon envie de cuisiner qui se répercute enfin sur nos petites assiettes pas jojo!
En plus, pas d'avion, on nous l'a chipé pour le mettre à Moorea (ah, oui, c'est vrai qu'avec leurs 10 Ferry par jour, ils étaient malheureux sans avion! et nous, avec tous nos moyens logistiques, on en a pas souffert du tout : le speed-boat a fait le plein) puis pour nous l'échanger avec un Dornier (quelquefois qu'on aurait rien vu), encore plus petit, puis pour nous faire croire qu'il était en panne (ça, on veut bien le croire), donc je persiste et renforce ma confiance aveugle dans ce mode de transport (et j'en crève).


Heureusement, ma balance ne me fait enfin plus la gueule (il était temps, Scott à quand même plus d'un an!), à moins que ce ne soit le contraire... peut-être grâce à des cours d'aquagym donnés par un légionnaire?!?

C'est pour cette raison que je préfère vous raconter nos vacances, car là, aucune fausse note, que du beau et du bon temps, pourquoi on peut pas avoir toujours des vacances (j'en connais au moins une qui m'approuve) ou inverser le temps de travail avec celui des vacances (j'ai encore plein d'idées comme ça a transmettre au gouvernement).


Donc, première partie : quatre jours au Sofitel de Tahiti que je ne présente plus autrement que notre résidence secondaire à Tahiti, y'a qu'à voir Jimmy se débrouiller avec les cartes magnétiques qui ouvrent les portes (de nos deux chambres communicantes, je rappelle), se rendre au buffet du  petit dej et prendre seulement une boite de céréales (trop class'), et bien-sur utiliser l'ascenseur jusqu'à épuisement même quand nous étions au rez-de-chaussée!
Nous avions un programme chargé (courses en tout genre) mais nous sommes arrivés assez tard le vendredi et tout est fermé jusqu'au lundi alors nous avons été forcés de nous reposer au bord de la piscine et à la plage... top!



Seulement, voilà, on peut se lasser un peu, alors nous avons décidé de passer une journée  à l'hôtel voisin (l'Intercontinental) pour changer un peu de cadre (!!??!!) et retrouver un autre endroit idyllique avec des plages artificielles de toute beauté, un aquarium magnifique et un petit monsieur musclé qui livre les petits dej à la rame qui m'a fait jalouser un peu... et me renseigner sur les prix de l'Intercontinental pour notre prochain séjour.






Deuxième partie : départ avec le Ferry vers Moorea chez les Houz'... affaire à suivre!

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17 août 2008 7 17 /08 /août /2008 08:07

SO, SO, SO, SO, SO, SO.....SOFITEL! (qui pourrait se traduire : complètement dingo, tarée, fan à mort du Sofitel!)

Bon, avant de continuer ma pub pour cette grande marque hotelière, petit come-back sur notre premier jour de vacances d'été : nous embarquons de l"aéroport" de Ua-Pou dans notre avion tutti riquiqui. Qui dit avion mini, aéroport en proportion et comme je vous avais promis une photo y'a des plombes, voici la bête :

Heureusement que l'avion n'a que 18 places, sinon on "déborderait" de l'aéroport!!!

D'ailleurs, nous étions le bon nombre de personnes mais pas de bagages, donc on a du tous se peser avant d'embarquer (pas le moment de faire croire qu'on a totalement retrouvé son poids d'avant la grossesse, merci Air Tahiti!) et verdict : on est trop lourd (pas que à cause de moi).
L'agent de comptoir demande qui veut bien rester... ouf, y'en a un qui se dévoue et il est plutôt balèze et il a un gros sac, tant mieux.


(J'en profite pour nous plaindre encore un peu : on a droit qu'à dix kilos par personnes dans nos avions Polynésiens et rien pour les bébés. Ca tombe bien, pour Scott, on a juste du prendre une poussette et un siège auto (10kg) et ça nous a laissé 20kg pour 4 de bagages (heureusement, j'ai pris que mes strings!)

Au moment de décoller, j'suis quand même pas vraiment rassurée et j'ai encore une fois passé les 15 minutes de vol les plus horribles de ma vie (comme à chaque fois!).

Faut quand même pas oublier que la taille de la piste, c'est ça ...
(Merci pour la photo Hervé, un mail bientôt!)
...que le pilote met les gaz trois fois avant de décoller (pour être sûr... heu de quoi, au fait?) et que nous avons des trous d'airs à faire rager un Superman en mission.

Bon, la récompense est au bout : après deux avions et quatre heures de vol, nous voilà à Tahiti... retour des indiens dans la ville qui grouille, on se laisse flotter et tout est une occupation. Jimmy note que les voitures ont un coffre ici (hé oui, nous on a que des bennes).
On se sent un peu étrangers mais les vieux réflexes primaires d'accoutumance au superflu nous rattrappent dès le hall du Sofitel, quand un jeune homme se jette à nos pieds pour nous voler nos bagages (mais non, il veut juste les mettre dans notre chambre, quel bonheur), une dame nous propose un jus de fruit et des serviettes chaudes en attendant nos clés... a y est, je suis foutue, je suis So, So, So.... Sofitel.

Nous avons deux chambres communiquantes (pour le prix d'une, je le rappelle), des lits super king size, deux salles de bains, des peignoirs 10mm (pareil que la combi d'hiver, sauf que l'eau de la douche est chaude)...
L'hotel est à tomber, tellement d'ailleurs que je me rends compte que j'en ai oublié de faire des photos (tellement persuadée déjà que ce ne sera pas notre dernier séjour), mais rassurez-vous, j'ai pris la piscine et nous dedans (pour dire qu'on y était, m'enfin!)

(Dérrière, vue sur Mooréa et plage de sable blanc, la seule de l'ile)



On s'est vraiment régalés, pour les enfants, c'est top et pour les parents, le sashimi au bord de la piscine, huuuummmm, miaaaaammmm, ssllluurrrp. Pis après petite sieste digestive dans nos chambres respectives pis après re-plouf (dans la mer pour change) pis après repas aux "roulottes" sur le port de Papeete. Vraiment galère ce début de vacances.


Et pis ceux qui disent que c'est pas vrai que le luxe on s'y habitue très vite sont des menteurs (et ils vivent pas à Ua-Pou, eux!)








La suite tout de suite : Mooréa.
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14 décembre 2007 5 14 /12 /décembre /2007 01:13
   
    C'est de la folie, j'ai le temps de rien en ce moment et encore moins de faire mon blog! C'est trop injuste, alors, je m'excuse pour tous les commentaires (depuis le temps que j'attendais d'en avoir autant!) auxquels je n'ai pas pu répondre, aux amis et famille qui n'ont pas encore eu de mail perso : j'éssaye de faire des articles et on verra ensuite, dé-so-lée mais mon petit bout me monopolise pas mal tout de même!


    Et puis, j'ai découvert que le mari de la bloggueuse himself n'était pas aussi maladroit à l'écriture qu'il voulait le laisser croire, donc je vais piteusement réutiliser un mail qu'il a envoyé à la famille et à ceux dont on avait l'adresse parceque je trouve qu'il peut se donner du mal quand il veut (quand sa femme ne peut plus!). Pour ceux qui l'auraient déjà lu, rabattez-vous sur les photos qui illustrent (ça c'est quand même bibi qui s'est fatiguée un peu!).

Promis, il y aura des jours meilleurs!

« Le Papa est très fier de vous faire part de la naissance de son deuxième petit bonhomme qui mesure 0,51 cm pour 3,250 kg.


 L'expédition pour Tahiti fut une véritable aventure de six semaines. 


En effet, suite au crash de Moorea, tous les petits avions sont en révision. Pour sortir de Ua-Pou et rejoindre l'ile principale des Marquises, Aline et Jimmy sont partis le 16/10 à bord de l'Aranui (gros bateau qui approvisionne les Marquises : voir photo dans le blog).


De mon côté, pour cause d'organisation du Cross du Collège, je les rejoint le 18/10 à bord d'un speed boat: deux heures d'enfer dans 2 à 3 métres de creux, cramponné à deux mains tel une vieille chaussette dans une machine à laver. Heureusement, le spectacle à l'arrivée dans la baie principale de Nuku-Hiva est grandiose de par sa beauté. Je retrouve mes deux ouailles et après deux heures de 4x4 pendant lesquelles je pense qu' Aline va accoucher 100 fois, nous embarquons pour Tahiti en avion. A l'arrivée c'est une première délivrance!


A partir de là, c'est une très longue période d'attente qui s'installe. Pendant les dix premiers jours nous logeons chez des collègues d'EPS en face du lagon. Ils nous ont gentiment prêté leur maison pendant les vacances de la Toussain (au fait, bonne fête des morts) puisqu'ils étaient en voyage.




La maison des Messager : merci à Caroline et Eric qui nous ont accueilli les bras ouverts, offert des week-ends dépaysants jusqu'à mon accouchement et des baignades dans le lagon avec vue sur Moorea...

 
Ensuite, nous nous installons chez les militaires! Si si. : la base est en bord de mer. Il y a un self , un bar, un espace de jeu pour Jimmy, et les studios sont très biens pour un prix raisonnable. Juste à coté il y a un hôtel avec un piscine à cascade! Presque tous les jours, je file à l'anglaise pour emmener Jimmy se baigner et moi aussi par la même occasion. En un mois, jamais repéré, on m'a même demandé si je ne manquais de rien!


Une maisonnette pleine de charme chez les militaires




Encore merci à notre sponsor pendant 6 semaines : l'hotel Royal Tahitian
 


 



Le temps passe, les visites chez le gynéco se succèdent mais toujours pas de contractions en vue (à part une fausse alerte qui la conduit au beau milieu de la nuit a la clinique pour en ressortir le matin : et dire que je venais voir mon nouveau-né quand je suis allé la récupérer ! Je vous dis pas la tête).

L'école à repris et il est impossible de prendre mon congé de paternité avant la naissance. Après dix entrevues à la Direction de l'Enseignement et tout autant de courriers pour expliquer mon cas, on se montre compréhensif avec moi et on ne m’infligera pas  un congé sans solde.

Enfin une date butoir pour le 21/11, trois jours après le terme de la grossesse. Dans ma tête, pas l'ombre d'un doute voyant ma femme toujours aussi active, alerte et dans une forme olympique: on ira jusqu'au bout! Il s'agit à présent de repousser les billets d'avion que j'avais réservés.

Nouvelle douche froide: plus aucune place avant le 20 décembre, nous sommes sur liste d'attente. Après avoir fait le siège d'Air-Tahiti pendant trois jours, enfin des places! Mais que jusqu'à Nuku-Hiva pour Jimmy et moi. Femme et nouveau-né d'abord! Re speed-boat en vue et en plus avec Jimmy: angoisse!

L'accouchement se passe merveilleusement bien, bien que ce soit encore une césarienne. L'émotion est toujours aussi énorme quand on vous refile cette toute petite créature dans les mains ! C'est vraiment la plus belle chose qu'on puisse faire dans la vie! Maman récupère très vite. La dernière semaine s'organise entre les visites à la clinique et l'intendance de Jimmy qui réagit vraiment très bien.

A présent Papa doit ramener son petit monde à la maison. Jour de chance puisqu'on apprend que Jimmy et moi avons une place pour Ua-Pou même si c'est dans le  deuxième vol. Dernière mission: faire patienter Jimmy pendant cinq heures dans le tout petit aéroport de Nuku-Hiva.

Ca y est : mission accomplie. Un sentiment de plénitude m'envahit dans ce décor idyllique. Retour bien mérité dans notre belle maison. Je ne vous raconte pas la saveur de la bière prise sur la terrasse en face de ce jardin tropical!

Epilogue: plus qu'une semaine de travail et après on est en vacances pendant un mois! (chut: il faut pas le dire !). Je vais pouvoir profiter pleinement de mes deux petits gars et de ma femme. »

PHILIPPE

Au fait les Mamy et ceux que ça intéresse, j'ai actualisé l'albuenfant-013.gifm photos de Jimmy : rendez-vous dans "Jimmy's World"


 
 
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1 décembre 2007 6 01 /12 /décembre /2007 23:59

Nous voilà enfin de retour aux Marquises après presque un mois et demi d'absence!

Tout s'est bien passé dans l'ensemble et nous sommes heureux de compter un petit bonhomme de plus dans notre famille. Nous avons eu pas mal de péripéties (que je vous exposerai très bientôt dans un nouvel article) et nous avons retrouvé notre maison avec délice.

J'ai retrouvé une boîte mail pleine à craquer en rentrant, alors merci à tous les proches et les amis pour les nombreux messages d'encouragement et de soutien : je répondrai dès que possible à chacun peeeeeersonnellement (un peu de patience, vous avez attendu un mois et demi, alors c'est pas la mer à boire!).

Pour voir la tête du tout petit bout, un article est en préparation (re-patience, s'il vous plait car j'allaite, moi!).

Et puis, bienvenue aux nouveaux qui sont nombreux à s'être inscrits sur le blog : Jocelyn de Nuku-Hiva, Nat "prof de ballon", Frédérique de Nuku-Hiva, Sonia de Taiwan (sssisssi!), Serge de Martinique, Bruno et Pascale de Martinique (je vous fais un petit mail bientôt), Marion, Annick et Autrélie. J'espère n'avoir oublié personne. J'avoue que cette nouvelle "notoriété" me fait chaud au coeur et m'encourage à écrire dès que possible.

Faut que je fasse attention à mes chevilles, mais si on me lit jusqu'à Taiwan, ça va être dur de pas se la "péter" un peu!
Bon, merci à tous et rendez-vous dans mon prochain article.
L'ex femme-ballon.
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12 septembre 2007 3 12 /09 /septembre /2007 09:14

Jeudi 2 Août :
Nous voilà arrivés au Sheraton de Tahiti fourbus mais heureux. Nous ne payons même pas la nuit de notre arrivée (il faut dire qu'il est 4 heures du mat tout de même), donc on apprécie le geste et de pouvoir accéder à la chambre sans plus tarder après deux jours de voyage. 


Le Sheraton Tahiti est un hôtel qui "tue sa mère" (les photos suffisent ou faut faire un shéma?) et nous ne dormons que deux heures car Philippe doit déjà repartir pour attaquer les réjouissances (compte bancaire, voiture à acheter, récupérer les billets pour le reste du voyage, voir si notre caisse est arrivée -ça risquait pas!-, assister à la réunion d'accueil des nouveaux enseignants au Rectorat, etc,...)

Et tout ça avant vendredi midi car tout est fermé après.

("Petit" lustre en nacre!)





















Avec les Dumiot, on se répartit les tâches : nos maris vont se dépatouiller avec les démarches et nous les femmes on va devoir s'occuper à l'hôtel avec les enfants (oh nooon...). Y'a des fois, ça a du bon d'être le sexe "faible".

A moi les galères du petit dej au bord du lagon avec Jimmy, les poissons à nos pieds et les dauphins qui sautent à une 50aine de mètres (véridique), la piscine à débordement et son spa relaxant ainsi que la sieste avec Mimi dans une chambre avec vue sur Mooréa. 











(dans le fond, Moorea)

Il fallait bien ça pour reposer la pauvre petite femme-ballon!
De retour de la chasse, Philippe se baignera à 18h juste avant la tombée de la nuit (et pas lourd de gibier dans sa besace!).
Malgré la fatigue et le décalage, nous sommes heureux et nous flottons sur un petit nuage. La gentillesse des Polynésiens nous porte et on se laisse entrainer doucement dans cette atmosphère paisible, bercés par une musique locale dans tout l'hôtel (ils sont pas beaux?).

Voyage-Ua-Pou-2007-055-copie-1.jpg










Jimmy apprécie sa nouvelle maison, et il faut lui expliquer qu'elle sera nettement plus roots, la vraie! Ce qui est pris est pris, il en profite un max et ça se voit!










Le soir, toujours avec les Dumiot, on cherche un resto ; et là, comme tout se passe dans le meilleur des mondes ici (apparemment) le seul petit resto accessible à pied de l'hôtel (que nous fuyons à l'heure du repas, car hors de prix) est excellent et je me rappelle encore de ses sushis et tartares de thon qui pourraient me faire hésiter avec une raclette (les lecteurs assidus auront alors une idée à quel point j'ai apprécié)!
Le seul hic : faut s'habituer aux additions salées et tout le monde est cuit et ne pense qu'à une chose -aller se coucher- je pense que ça se voit à nos têtes, non?


Vendredi 3 Août (rassurez-vous, je ne ferai plus jour après jours après le récit du voyage!) :
Après une nuit orchestrée par la boite à musique de Jimmy qui a du mal à fermer l'oeil, Philippe repart à la chasse avec François (pourvu qu'ils nous ramènent un beau mammouth, heu, un 4x4!) et moi, je dois refaire encore le même programme lassant!
Je passe quand même un coup de fil au proprio de notre future maison pour lui dire qu'on arrive le lendemain et qu'on se débrouille pour se rendre sur place par nos propres moyens, pensant trouver une sorte de "taxi-brousse" ou de 4x4 collectif à la descente d'avion (il a du bien rire celui-là et vous saurez pourquoi dans la suite de nos aventures!).

Philippe passe la matinée au quartier général des Enfants de la Chance (le Rectorat) pour la réunion d'accueil des nouveaux et l'après-midi il se rend à pied (il fait chaud à Tahiti) sur le port pour avoir des nouvelles de la caisse : elle arrivera le 22 août à Tahiti, seulement! petite déception quand même surtout qu'il lui faudra encore une quinzaine de jours pour le dédouanement et repartir sur Ua-Pou à bord de l'Aranui (voir article précédent).
Retour à l'hôtel pour repartir amener les bagages en surplus  au fret car demain on va prendre de petits avions qui n'autorisent que peu de bagages et comme on ne vient pas à Ua-Pou pour les vacances, on en a un peu quand même, du surplus!

De mon côté, il faut que je me baigne dans la piscine... ah, si, j'ai appelé la famille pour leur dire qu'on rentre car c'est trop dur et ils ne nous ont pas cru! (en fait à plus d'1 euro la minute, j'ai pas eu le temps de faire de l'humour!).
Retour du guerrier encore plus tard que le jour d'avant : toujours pas de mammouth, faudra trouver à Ua-Pou, mais les paperasses sont en bonne voie  et reresto qui va bien.

La panse très bien remplie, on va rejoindre notre luxueuse habitation de sdf pour une dernière nuit avant le départ... destination finale : Ua-Pou via Rangiroa et Nuku-Hiva.

A suivre...
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1 juin 2007 5 01 /06 /juin /2007 23:11
        Si vous avez bien lu mes articles précédents, vous saurez que nous allons passer 2 touts petits jours à Tahiti avant de rejoindre notre nouveau havre de paix. Nous ne choisissons pas (comme nous ne payons pas) et n'avons pas le droit de rester plus.
   
 Nous avions aussi à choisir entre trois hôtels pour le logement dans une gamme que nous, les profs, cotoyons tous les jours (Sheraton, Sofitel et Royal Tahitien!). Bon, on n'a rien  contre
de se la "péter" de temps en temps... nous avons donc choisi le Sheraton (le plus cher bien sûr) qui nous a séduit d'entrée (faudrait être difficiles - on éssayera de ne pas faire trop beauf, promis)!

    Est-ce qu'on va en profiter? même pas sûr car je rappelle que nous arrivons le premier jour à 4h du mat après 22h de vol et que le deuxième il nous faut peut-être déjà aller à Ua-Pou (à vrai-dire on ne sait toujours rien sur cette partie du voyage).




Nous avons choisi la suite dans la payotte sur pilotis, n'est-ce pas ; histoire de pouvoir pêcher du balcon!

















Après un si long voyage, on prendra bien un petit massage relaxant (heu... seulement moi : Philippe il sera pas si fatigué que ça).






Puis un petit bain dans la piscine pour se préparer psychologiquement à cette nouvelle année chargée en émotions!





et pour finir un petit resto à whatmillions car maintenant les prix sont en FCFP (Francs Pacifique) et il faut diviser par environ 119 pour avoir des euros!



Voilà pour ces deux jours de bonheur avant le début de l'aventure!
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Présentation

  • : 4 ans en Polynésie
  • : 8 ans en Martinique, 2 ans aux Marquises, nous voilà maintenant aux Australes pour 2 ans! Venez rencontrer notre petite famille dans son périple au bout du rêve...
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